Un carnet en 2015
Le dernier billet de Stéphane, l’autre soir, et le lien vers un précédent, les deux lus, avant de sortir du bureau. Puis l’envie d’ouvrir des livres, et de photographie aussi.
Partir acheter du chocolat et, juste à côté, la librairie, avant qu’elle ne ferme. Au fond, les étagères et présentoirs pleins de nouveaux bouquins, plus rares et variés qu’à la FNAC, ça c’est certain. À chaque fois les petits cœurs rouge dessus, avec le nom de la libraire qui les a apprécié : Claudine, je la connais, j’ai les mêmes goûts, la plupart du temps. Là je ne sais plus, y avait-il un cœur ou pas, j’ai oublié ; In paese, le bruit du souvenir, Bernard Cantié. Un village de Corse, des portraits, des paysages. Le bouquin a percuté le billet de Stéphane. 25 euros sur un coup de tête ? Peut-être pas le moment (surtout après 34 de chocolat).
Hier je suis retourné à la librairie. L’unique exemplaire n’y était plus. Vu d’autres chouettes images bien sûr, mais celui-là il m’avait tapé dans l’œil, comme autrefois L’exactitude des songes, de Denis Grozdanovich, que je n’ai pas osé m’offrir lui non plus.
Tiens, curieux air de famille entre tout ces titres.
Note : au moment de trouver un lien intéressant vers L’exactitude des songes, je tombe sur le site de la graphiste ayant mis en forme l’ouvrage (et je crois que je vais définitivement craquer pour ce bouquin, voire les deux peut-être).