Une semaine chargée. Peu d’espace et de recul pour les projets et centres d’intérêts personnels. Des notes typo surtout, centre d’intérêt principal du moment.

Eu, il y a une semaine, l’occasion d’assister à une conférence de Céline Alvarez (dont je n’ai toujours pas pris le temps de lire le livre, qui attend sur ma liseuse). Elle n’est pas la seule ni la première à parler de ces sujets d’éducation. Ne cesser de penser pendant deux heures que ce qui s’applique aux enfants à l’école, doit-peut également s’appliquer aux adultes en entreprise.

Plaisir de voir la police Free Sans dans la feuille de style du journal Le Monde : font-family : Helvetica,Arial,FreeSans,sans-serif; Nombre de font-stack font peu de cas de Linux.

Feuilleté La Nouvelle Typographie de Jan Tschichold, récemment traduit en français. Grosse déception. Le choix de papier (brillant façon prospectus) n’est pas agréable du tout, et la police de caractère — Dada Grotesk, visible sur la couverture sur le site — est très pénible à lire. Est-ce un choix délibéré pour tenter de restituer l’ouvrage dans son contexte de l’époque ? En ce cas autant rester sur la police d’origine.

Lecture toujours en cours de Pendant la lecture. À l’opposé de l’ouvrage précédent, entre deux lignes, je ne cesse d’admirer la police utilisée, Capitolium (et Bigvesta pour les notes). Le texte est entièrement ferré à gauche. Rare aujourd’hui, mais ne donne aucun inconfort de lecture.

Espace fine insécable. J’ai entamé la rédaction d’un billet expliquant comment, avec FontForge, je retouche les polices de caractère que j’utilise sur ma liseuse. Rédaction ralentie car je bute sur des points de conception et je ne voudrais pas dire d’âneries. Autant on trouve de la prose sur le dessin des caractères eux-mêmes, autant sur la réalisation des glyphes d’espaces, c’est… le vide, ou presque, sur la toile. Bref, le temps d’assimiler deux-trois trucs et je reviens.

Blogroll. aujourd’hui, dans mon lecteur R.S.S., d’abord chez Franck, puis chez David. C’est drôle car ça fait quelques temps que je pense à en remettre une aussi, suite à la lecture d’un billet de Pep, récemment découvert via Stéphane. (Doublement marrant car il est question de ce billet chez Franck justement.)

Même avis que Franck et David : je ne publierais pas mon O.P.M.L. brut d’export :

  • pas forcément envie d’exposer tous mes centres d’intérêt, montrer ce que je lis ;
  • certains fils sont morts et je garde les contenus pour mémoire ;
  • des fils en vrac, du ménage à faire, un classement pas à jour ;
  • curieusement je lis certains par syndication et d’autres par leur site web (alors qu’ils disposent d’un R.S.S.), pour différentes raisons, pour la qualité graphique, parce qu’ils publient parfois trop et que je ne veux pas voir mon lecteur s’agiter, parce que je vais les visiter de temps à autre mais pas au point de le suivre par syndication.