Je découvre à quoi ressemble graphiquement mon activité sur OpenStreetMap. Où l’on remarque qu’en 2016 celle-ci (pourtant bien modeste) a fait un bond. J’espère que ma contribution 2017 sera encore plus importante.


La 27e lettre de l’alphabet :

ESPERLUETTE. L’esperluète — ou esperluette d’après Maximilien Vox — est le signe &. Son nom viendrait de ce qu’il était autrefois considéré comme la dernière lettre de l’alphabet, appelée ète, placée après le Z. En apprenant l’alphabet (en chantant), aux petits enfants de l’école élémentaire, on ajoutait une rime amusante… ix, i grec zed, ète, perluète. Cela se serait transformé en esperluète. dictionnaire.

Dictionnaire des règles typographiques, 4e édition, Louis GUÉRY.

Wikipédia fait aussi mention de cette origine possible.


Un tweet de Vincent sur le pronétariat me fait découvrir le sujet et l’ouvrage, disponible gratuitement en ligne, écrit par Joël de Rosnay. Envie de le lire à l’occasion mais il n’existe pas en epub. Ni une ni deux, je reprends les fichiers H.T.M.L. pour m’en faire une version (en quelques heures , après en avoir un peu bavé avec des histoires de validation epub qui faisaient planter ma liseuse).

Le livre est en licence Creative Commons et je peux le rediffuser :
La révolte du pronétariat au format epub.

J’ai opéré un passage en UTF-8 et quelques ajustements typographiques sur l’ouvrage (les espaces insécables, dont les fines). Seul regret, constater que la majorité des liens qui s’y trouvent sont aujourd’hui brisés (l’ouvrage date de 2005).

Cet epub est suffisant pour mes propres habitudes de lecture, mais peut certainement être amélioré (relecture, balisage, accessibilité, etc.). À vous de jouer :-)


R.S.S. Ça n’intéresse sans doute que moi, mais j’ai trouvé comment, en C.S.S.,modifier l’affichage des billets dans Liferea.


Sérendipité typographique. Je suis tombé sur The Golden Compasses (1969-1972) – The History of the House of Plantin-Moretus. Si vous êtes féru de typographie, le nom de Plantin devrait vous faire tilter immédiatement. Le (conséquent) document web est vraiment de belle facture (j’aime beaucoup sa mise en écran et la gestion des notes dans la marge). Plusieurs illustrations intéressantes au fil du texte. Une version P.D.F. est également disponible.

The Officina Plantiniana can be regarded as the most important printing and publishing house that Belgium has ever had. It was founded in 1555 by Christophe Plantin, a poor journeyman bookbinder from the neighbourhood of Tours who, in one of the most turbulent periods of Western history, succeeded in making himself the greatest typographer of his day, and it was continued until 1876 by his descendants, the Moretuses.

The Golden Compasses (1969-1972) – The History of the House of Plantin-Moretus, Leon VOET.