La semaine dernière Vincent me montrait ses récentes images de « safari typo » nantais. Un midi, je me suis mis à lever le nez à mon tour et à rapporter les images suivantes.

Librairie d’Histoire

École Montessori

La petite maternelle

Hôtel le Concorde

Librairie Durance

Librairie (Durance) ancienne et moderne

okko

Maison de la famille

Que rapporter lors d’une pêche typographique1 ? Question de goût. Les enseignes foisonnent et les différentes techniques permettent désormais de pratiquement tout faire. Pour ma part, dans cette profusion, j’aime les enseignes anciennes (à répéter dix fois, vite et à haute voix), bientôt vouées à disparaître, les techniques anciennes aussi (peinture à la main, volumes en bois, métal…).


  1. Pêche plutôt que safari parce que le terme me renvoie à la pêche photographique, terme souvent employé par de nombreux photographes (tiens, Plisson se décrit comme un pêcheur d’images d’ailleurs). La pêche est une activité sans doute plus passive : ça mord ou ça mord pas, et l’on peut revenir bredouille, ce n’est pas bien grave. Malheureusement, pêche et safari sont des activités de prédation, et cette idée me déplaît. On parle aussi de chasse photographique, l’objectif de l’appareil remplaçant le canon du fusil. Cette image me rebute encore davantage ! Notez qu’à la pêche à la ligne, on ne bouge pas, là ce n’était pas mon cas. Bref, je n’ai toujours pas trouvé le mot qui me convient vraiment.