Bien qu’il soit un tantinet trop gourmand en ressources pour ma modeste machine (époque bas moyen âge), je reviens écrire avec1 Typora, à l’instar du précédent billet. Je trouve cet outil décidemment bien fichu pour le masque de rédaction (si on peut l’appeler ainsi) qu’il propose sur le langage Markdown. Parce que bon, le moindre jeu d’accolades-parenthèses-U.R.L., on ne peut pas dire que ce soit d’un grand confort de lecture. Ma dernière découverte concerne par exemple les entités H.T.M.L. ou codes U.T.F. qui, à peine saisis, disparaissent pour laisser place aux glyphes désirées. Au besoin on peut de toute façon basculer le fichier en vue texte brut si l’on préfère. Un défaut parmi d’autres toutefois, les apostrophes et guillemets saisies ne sont pas les françaises mais les vulgaires pattes de mouche.


J’ai d’ailleurs toujours pensé, pour ma part, que le mot synonyme relevait de l’abus de langage : si deux mots existent, c’est qu’ils ont leur raison d’être, si ténue que soit la nuance qui les différencie.

Si on en rajoute, maintenant…, À la fortune du mot, Bruno DEWAELE.

Oui, c’est ce que j’ai toujours pensé aussi.


  1. Tiens, que doit-on dire : sur/dans/avec MS-Word, OpenOffice, Typora ? Je dirais avec, comme avec un crayon.