Jekyll2021-01-24T15:37:34+01:00http://emmanuel.clement.free.fr//Un carnetISBN2021-01-23T00:00:00+01:002021-01-23T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2021/01/23/isbn<p>Il a quelques temps, je demandais sur Mastodon quel logiciel conviendrait pour inventorier mes livres papiers. On m’a demandé si c’était pour des livres numériques. Non, pour cela j’utilise déjà <a href="http://calibre-ebook.com/">Calibre</a>. C’est alors que je me suis demandé si Calibre ne pourrait pas quand même convenir pour cette tâche, bien qu’il ne soit pas prévu pour gérer une bibliothèque papier. Cela me permettrait de faire avec les moyens dont je dispose déjà plutôt que d’installer un nième logiciel (cette idée de l’économie de moyens me plaît beaucoup), et d’avoir sous la main tous mes ouvrages, qu’ils soient en papier ou en numérique.</p>
<p>Calibre a des fonctions pour créer des livres « vides » (une entrée sans aucun format), ou à partir de l’ISBN (<em>International Standard Book Number</em>). Après avoir utilisé la première option pour découvrir la fonction, j’ai vite basculé sur la seconde, bien plus intéressante.</p>
<p>À partir de l’ISBN, Calibre interroge des sources distantes (malheureusement Amazon, Google, et d’autres sans doute moins « GAFA ») et, lorsqu’il les trouve, vient peupler les métadonnées de l’ouvrage (titre, auteur, éditeur, date d’édition, texte de quatrième de couverture, image de couverture…).</p>
<p>Sur la trentaine d’ouvrages que j’ai maintenant ajouté ainsi, la couverture est l’information manquante la plus courante. Je note également que pour de vieux ouvrages encore en ISBN à dix chiffres, il peut retrouver l’ISBN à treize chiffres si l’ouvrage a été republié récemment. Parfois la couverture est différente, mais c’est le même livre.</p>
<p>Parfois la recherche ne retourne rien et crèe le livre vide, seulement avec l’ISBN. Si j’ajoute quelques informations, comme le titre, l’auteur et que je relance la recherche, il peut alors le retrouver. Ce n’est pas systématique.</p>
<p>Si la couverture manque, une recherche sur la toile a vite fait de me la retrouver. Au pire je peux toujours la photographier. J’ignore quelles sources seraient plus complètes que celles qu’utilise Calibre mais je trouve des informations assez bonnes chez <a href="https://www.abebooks.fr/">AbeBooks</a> par exemple.</p>
<p>Enfin, je fais pointer les livres ainsi ajoutés vers un fichier vide nommé <code class="highlighter-rouge">livre.papier</code>. Cela me permet ensuite de pouvoir trier l’intégralité de la bibliothèque par format et d’avoir une vue d’ensemble de ceux en papier uniquement.</p>
<p>Mais l’histoire ne s’arrête pas là ! Calibre est en mesure de créer un catalogue d’une sélection donnée et de la sortir dans différents formats (epub, bib, mobi, csv, xml, etc.), avec de nombreuses options. J’ai testé quelques générations de catalogues et pour partager sa propre bibliothèque à un tiers, je trouve par exemple cette fonction vraiment chouette.</p>
<p>Pourquoi faire l’inventaire de tous mes livres papier, demande Stéphane ?</p>
<p>Pour savoir combien j’en ai (trop, je pense), pour ranger la bibliothèque dans ma tête, pour faire l’état des lieux de ce que j’ai lu et des ouvrages qu’il me reste à lire (trop aussi je pense et sans doute plus que je n’imagine), peut-être pour ajouter des notes de lecture sur chaque entrée dans Calibre, pour savoir ceux dont il faudrait que je me sépare et enfin, pour avoir une liste partageable avec mon entourage.</p>Il a quelques temps, je demandais sur Mastodon quel logiciel conviendrait pour inventorier mes livres papiers. On m’a demandé si c’était pour des livres numériques. Non, pour cela j’utilise déjà Calibre. C’est alors que je me suis demandé si Calibre ne pourrait pas quand même convenir pour cette tâche, bien qu’il ne soit pas prévu pour gérer une bibliothèque papier. Cela me permettrait de faire avec les moyens dont je dispose déjà plutôt que d’installer un nième logiciel (cette idée de l’économie de moyens me plaît beaucoup), et d’avoir sous la main tous mes ouvrages, qu’ils soient en papier ou en numérique.Commentaires éphémères2020-12-06T00:00:00+01:002020-12-06T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/12/06/commentaires<p><a href="https://forget.codl.fr/about/">Forget</a> est un outil qui permet de supprimer automatiquement des notes de micro-blogging (Mastodon, Twitter) après une limite de temps décidée par l’utilisateur (d’une minute à plusieurs années).</p>
<p>On pourrait imaginer une fonctionnalité similaire pour les commentaires de blogs : à la saisie, pouvoir préciser que mon commentaire s’effacera au bout d’une semaine, un mois, un an, jamais (choix par défaut).</p>
<p><a href="https://open-time.net/">Frank</a> avait développé une fonctionnalité dans le même esprit pour Dotclear, permettant rédiger un billet privé pour l’auteur ou le modérateur (permettant de lui signaler une erreur par exemple).</p>
<p>Régulièrement j’ai envie de commenter très brièvement, pour un jeu de mot léger ou un mot façon <em>café du commerce</em>. Je ne juge pas le commentaire très intéressant et le voir disparaître peu de temps après me conviendrait très bien.</p>
<p>Cette fonctionnalité pourrait également être intéressante pour des raisons de vie privée ; effacement progressif de ce que j’ai raconté un jour et que je ne tiens pas à voir gardé pour l’éternité.</p>
<p>Le commentaire pourrait être mis hors-ligne (le responsable du blog a peut-être envie de le conserver pour lui-même) ou définitivement supprimé de la base de données.</p>Forget est un outil qui permet de supprimer automatiquement des notes de micro-blogging (Mastodon, Twitter) après une limite de temps décidée par l’utilisateur (d’une minute à plusieurs années).Je me souviens2020-12-05T00:00:00+01:002020-12-05T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/12/05/je-me-souviens<p>Voir les étapes, ou regarder le mouvement ?</p>
<hr />
<p><em><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Je_me_souviens_(Perec)">Je me souviens</a></em>, de Georges Perec. Je ne l’ai jamais lu. Pas encore du moins. Ces trois mots me hantent depuis des années. Déclencheurs d’écriture, je reste pourtant figé sans arriver à écrire tout les souvenirs que je veux pourtant poser avant que les mémoires ne s’effacent.</p>
<p>Au chapitre <em>un</em> de <em>Question de style — Manuel d’écriture</em>, <a href="http://www.atmotsphere.org/dane-cuypers/">Diane Cuypers</a> dit toujours débuter ses ateliers d’écriture par cette proposition de travail. C’est dans cet ouvrage que j’ai autrefois découvert cette idée.</p>
<p>Ce matin, ma compagne est allée à vélo l’emprunter de nouveau à la médiathèque.</p>
<p>Je relis le chapitre. Samy Frey avait autrefois interprèté ce texte au théatre… sur un vélo ! (La boucle est bouclée.) On retrouve <a href="https://www.ina.fr/recherche/search?search=je+me+souviens+de+Georges+Perec">traces dans les archives de l’INA</a> de ce texte interprèté par Samy Frey.</p>
<p>Aujourd’hui je tente de reprendre l’écriture non plus pour me souvenir, mais pour poser les souvenirs de demain. Petits cailloux.</p>Voir les étapes, ou regarder le mouvement ?Débrancher la machine2020-12-01T00:00:00+01:002020-12-01T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/12/01/debrancher<p>Toujours cette grande difficulté à inscrire l’écriture et la publication dans
mon quotidien, mais je persévère. Toujours les mêmes modèles motivants. Si vous
me lisez il y a de grandes chances qui vous en fassiez partie.</p>
<p>De nombreuses réflexions publiées sur Mastodon devraient plutôt être publiées
ici.</p>
<hr />
<p>Le week-end dernier, installé Vivaldi puis Brave. Je n’avais pas daigné les
installer vu que leur moteur de rendu est le même que celui de Chromium. C’était
une erreur. Ils présentent des idées intéressantes et Vivaldi rappelle les
bonnes idées d’Opera avant qu’il ne change lui aussi pour Chromium. Brave
dispose de deux types de navigation privée, dont l’une avec Tor. Me reste à
installer Tor pour être complet.</p>
<hr />
<p>Revenir sur la <a href="https://www.gnu.org/software/bash/manual/bash.html#Command-Line-Editing">documentation de Bash</a>,
en particulier le chapitre 8, <em>Command line editing</em>. Nombre de commandes sont
issues d’Emacs. Le mode de navigation peut être changé pour utiliser les raccourcis
Vi.</p>
<p>Améliorer mes connaissances et maîtrise de ce chouette outil.</p>
<hr />
<p>Clavier. J’avais laissé le <a href="http://emmanuel.clement.free.fr/2019/01/27/clavier.html">sujet en suspens</a>.
Je m’oriente vraisemblablement vers un <a href="http://www.macfay-hardware.fr/test-vortex-new-75-race-3-rgb/">Vortex new 75 race 3 rgb</a>.</p>
<p>Mes critères idéaux étaient :</p>
<ul>
<li>Iso-fr avec inscription des lettres sur les touches (d’autant qu’il sera
utilisé par le foyer) ;</li>
<li>Présence des touches directionnelles (l’usage de raccourcis sans ces touches
sur le Pok3r depuis bientôt un an est trop pénible) ;</li>
<li>sans ligne de touches de fonctions (je transige sur ce point finalement) ;</li>
<li>Probablement avec des switchs clicky, par goût pour ces sons.</li>
</ul>
<hr />
<p>Inventaire des différentes façons de refermer une fenêtre, un onglet ou un logiciel :</p>
<ul>
<li><code class="highlighter-rouge">:q</code> ;</li>
<li><code class="highlighter-rouge">^c</code>, <code class="highlighter-rouge">^q</code>, <code class="highlighter-rouge">^x</code>, <code class="highlighter-rouge">^d</code> ;</li>
<li><code class="highlighter-rouge">Alt + F4</code> ;</li>
<li>touche <code class="highlighter-rouge">Esc/Échap</code> ;</li>
<li><code class="highlighter-rouge">kill <pid></code>, <code class="highlighter-rouge">killall <name></code> ;</li>
<li>cliquer sur une icône ;</li>
<li>dérouler un menu et cliquer <em>fermer</em> ;</li>
<li>débrancher la machine !</li>
</ul>Toujours cette grande difficulté à inscrire l’écriture et la publication dans
mon quotidien, mais je persévère. Toujours les mêmes modèles motivants. Si vous
me lisez il y a de grandes chances qui vous en fassiez partie.rsync2020-11-23T00:00:00+01:002020-11-23T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/11/23/rsync<p>Je n’ai jamais eu l’habitude de faire des sauvegardes régulières. Certains bondiront. Mon premier gros problème fut autour de 2002-2005. Un ex-collègue qui avait le matériel nécessaire avait pu récupérer mon disque, qui n’avait finalement pas laché. Il fonctionne toujours sur une ancienne machine.</p>
<p>Plus récemment, il y a quelques années, le disque de mon netbook avait donné de gros signes de faiblesse. Avant qu’il ne lâche, un collège qui possédait lui aussi un matériel de récupération, m’avait tout sauvegardé. J’ai remplacé le disque et l’ai toujours mais je le pense désormais trop instable pour m’en servir. Il n’est pas totalement mort mais je l’ai remplacé.</p>
<p>Et puis la semaine dernière, probablement quelques mauvaises extinctions de machine récemment, et je me suis retrouvé à ne plus pouvoir démarrer le système.<code class="highlighter-rouge">BusyBox</code> et <code class="highlighter-rouge">initramfs</code>. Écran noir. J’avais bien quelques bouts de sauvegardes <em>copier-coller</em> sur un disque externe, mais pas grand-chose de plus. Le disque étant chiffré, j’ai eu quelques sueurs froides en craignant perdre beaucoup cette fois-ci.</p>
<p>Avec Boot-Repair-Disk sur une clé USB et l’aide de bonnes âmes sur Mastodon, j’ai pu analyser le problème prudemment, le corriger et redémarrer. Rien n’était perdu. Seul le démarrage ne se faisait plus correctement.</p>
<p>Cette fois-ci j’ai commencé à utiliser Grsync et <code class="highlighter-rouge">rsync</code> pour synchroniser mon profil utilisateur avec le disque externe. Après toutes ces années, c’est la première <em>vraie</em> sauvegarde que je fais avec un outil de synchronisation. Je regrette que Grsync ne donne qu’assez peu d’informations sur le bon déroulement de la sauvegarde. Il est peut-être possible d’en avoir davantage ; je lirai la page de manuel de <code class="highlighter-rouge">rsync</code> plus en détail pour le savoir.</p>
<p>Une photo et deux fichiers markdown de mon présent blog ne sont toutefois pas passés. Ils sont apparemment défectueux et j’ignore bien pourquoi (surtout les fichiers textes d’ailleurs). Du coup, cela n’est pas pour me rassurer sur l’intégrité de l’ensemble de la sauvegarde (qui pourtant à l’air d’être complète).</p>
<p>J’ai a priori tout récupéré. Prochaine étape : changer de système pour passer de Xubuntu à Debian + LXDE.</p>Je n’ai jamais eu l’habitude de faire des sauvegardes régulières. Certains bondiront. Mon premier gros problème fut autour de 2002-2005. Un ex-collègue qui avait le matériel nécessaire avait pu récupérer mon disque, qui n’avait finalement pas laché. Il fonctionne toujours sur une ancienne machine.Bash2020-11-15T00:00:00+01:002020-11-15T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/11/15/bash<p>Finalement il y a peut-être un intérêt à partager les toutes petites trouvailles que je fais au quotidien. Si elles peuvent éveiller un intérêt chez d’autres.</p>
<p>Chez (Franck) tout d’abord, une astuce pour améliorer la navigation dans l’historique du Shell Bash :</p>
<p>Créer un fichier <code class="highlighter-rouge">.inputrc</code> à la racine du répertoire <code class="highlighter-rouge">home</code> de l’utilisateur, puis y ajouter :</p>
<div class="language-bash highlighter-rouge"><pre class="highlight"><code><span class="s2">"</span><span class="se">\e</span><span class="s2">[A"</span>: <span class="nb">history</span>-search-backward
<span class="s2">"</span><span class="se">\e</span><span class="s2">[B"</span>: <span class="nb">history</span>-search-forward
<span class="nb">set </span>show-all-if-ambiguous on
<span class="nb">set </span>completion-ignore-case on
</code></pre>
</div>
<p>Cela fait, il est alors possible de saisir le début d’une commande puis, à l’aide des touches de déplacement haut/bas, de circuler dans l’historique des commandes commençant par le même terme. (personnellement je n’utilise pas les touches directionnelles de mon clavier mais les raccourcis classiques de Bash : <code class="highlighter-rouge"><Ctrl> + p</code> et <code class="highlighter-rouge"><Ctrl> + n</code>, pour previous/next.)</p>
<hr />
<p><a href="https://www.gnu.org/software/bash/manual/html_node/Command-Line-Editing.html">Raccourcis de Bash</a>, justement. J’en connais certains mais pas tous encore. Je n’ai pas encore la fluidité que j’aimerais pour me déplacer et jouer avec les fichiers. <a href="https://www.gnu.org/software/bash/manual/html_node/Event-Designators.html">Celles-ci</a> sont bien puissantes aussi.</p>
<hr />
<p><code class="highlighter-rouge">noclobber</code> est une option de Bash permettant d’éviter la réécriture/écrasement de fichiers déjà existants. Je ne m’en sers pas mais je trouve la traduction assez amusante : <em>clobber</em> signifie <em>cogner, tabasser, frapper</em>. En quelque sorte, <em>no clobber</em> signifie <em>pas taper !</em></p>Finalement il y a peut-être un intérêt à partager les toutes petites trouvailles que je fais au quotidien. Si elles peuvent éveiller un intérêt chez d’autres.Ordiphone2020-11-11T00:00:00+01:002020-11-11T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/11/11/ordiphone<p>Été 2020. Premier smartphone. De récupération. J’aurais vécu jusque là sans en avoir un. J’utilisais de temps à autre celui de ma compagne. Depuis environ deux ans, elle avait reçu de son entreprise un smartphone <em>double SIM</em>. Elle m’avait alors poussé à récupérer son vieux mobile (simple téléphone) et prendre un simple forfait SMS (et deux heures de communication que je n’utilise pour ainsi dire jamais). Ce forfait « jeune ado » me suffit encore très largement.</p>
<p>Cet été, donc, ma compagne a changé de travail et rendu son smartphone. Il ne nous restait que le vieux terminal dont je disposais (un Samsung S5230). Avant de partir en randonnée vélo, celui-ci a rendu l’âme. En changeant la carte SIM, un contact s’est cassé. Ennuyés que nous étions de partir sans plus aucun moyen de communication mobile dans la poche, nous avons sollicité nos familles pour récupérer un vieux terminal traînant certainement dans les tiroirs. Et nous en avons récupéré deux (combien de terminaux considérés obsolètes traînent encore ainsi dans les foyers ?). Un vieux Samsung S8530 (qu’il nous a fallu <em>dé-simlocker</em>, toute une histoire !), et un Archos 50B Cobalt (celui que j’utilise désormais).</p>
<p>En randonnée nous ne les allumions que très rarement et brièvement, afin de ne pas avoir à les recharger (pas toujours pratique en camping). Le Samsung tient encore très longtemps et parfaitement la charge, un de ses points forts à l’époque. L’Archos moins, mais c’est un ordiphone. Nous y avions réinstallé Osmand pour la cartographie hors connexion, utilisé de temps à autre.</p>
<p>Depuis notre retour, ma compagne a, à nouveau, reçu un nouveau mobile <em>double SIM</em>. Le Samsung est reparti dans un tiroir, mais nous le conservons précieusement en cas de panne. Quant à l’Archos, il est devenu mon mobile propre.</p>
<p>Je n’ai pas besoin d’Internet en permanence. SMS dehors et Wifi à la maison sont déjà des utilisations énormes pour moi.</p>
<p>Après le tour du propriétaire, j’ai eu très vite fait d’ajouter <em>personalDNSfilter</em>, <em>F-droïd</em> et de remplacer progressivement les applications natives d’<em>Androïd</em> par de plus libres et contenant moins de traceurs. Pour cela, même pour les applications présentes dans <em>F-droïd</em>, j’utilise <a href="http://exodus-privacy.eu.org/fr/">Exodus-Privacy</a> pour vérifier la présence et le nombre de traceurs éventuels des applications. Hier, j’ai d’ailleurs installé <em>ClassyShark3xodus</em> qui analyse les applications installées et y recherche les traqueurs.</p>
<p>Voilà ou j’en suis aujourd’hui de l’usage d’un ordiphone dont je me suis passé toutes ces années. Il n’est pas des plus véloces et son système est ancien, mais à l’aide de F-droïd j’ai pu lui redonner un bon coup de jeune.</p>Été 2020. Premier smartphone. De récupération. J’aurais vécu jusque là sans en avoir un. J’utilisais de temps à autre celui de ma compagne. Depuis environ deux ans, elle avait reçu de son entreprise un smartphone double SIM. Elle m’avait alors poussé à récupérer son vieux mobile (simple téléphone) et prendre un simple forfait SMS (et deux heures de communication que je n’utilise pour ainsi dire jamais). Ce forfait « jeune ado » me suffit encore très largement.Écriture quotidienne2020-11-11T00:00:00+01:002020-11-11T00:00:00+01:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/11/11/ecriture<p>Beaucoup de mal à trouver comment insérer la pratique de l’écriture dans mon quotidien et d’en tenir ici une publication. Seules ces notes professionnelles, dont je parlais récemment, continuent d’être prises. Avec le temps le motif s’est mis en place, dans un fichier markdown :</p>
<ul>
<li>date ;</li>
<li>lieu (bureau/domicile) ;</li>
<li>horaires (début/fin);</li>
<li>tâches (numéros de ticket, divers);</li>
<li>TIL (<em>today I learn</em>) ;</li>
<li>humeur (comment j’ai trouvé la journée, l’avancement de mon travail, mais aussi l’état d’esprit et les émotions dans lesquelles je suis de façon large).</li>
</ul>
<p>Généralement j’entame la prise de note en première tâche de ma journée. TIL et humeur viennent à la fin ou en cours de route, lorsqu’un élément marquant, ou que je ne veux pas oublier, passe. Parfois je rattrape les notes le lendemain.</p>
<p>Avec quelques semaines de recul maintenant, les TIL sont principalement les témoins de ma progression dans l’apprentissage de Vim et de la ligne de commande. Je ne crois pas qu’il y aurait une grande valeur à les publier ici car ce sont de simples pense-bête. De tout le reste, pour l’instant, je ne fais rien.</p>
<p>J’aime prendre ces notes. Elles ponctuent ma journée, m’apportent un certain recul et m’invitent à apprendre (d’une façon un peu scolaire que j’avais oublié depuis bien longtemps).</p>
<p>Pour ce qui concerne une publication quotidienne, je comprends bien qu’il s’agit d’une certaine discipline dont je n’ai pas encore trouvé le lieu et la place dans mes journées. À suivre.</p>Beaucoup de mal à trouver comment insérer la pratique de l’écriture dans mon quotidien et d’en tenir ici une publication. Seules ces notes professionnelles, dont je parlais récemment, continuent d’être prises. Avec le temps le motif s’est mis en place, dans un fichier markdown :Apprendre Vim2020-09-13T00:00:00+02:002020-09-13T00:00:00+02:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/09/13/apprendre-vim<p>Je continue d’apprendre à me servir de Vim peu à peu, quotidiennement. Comment en vient-on à être une poule devant un couteau au moindre chercher-remplacer ? (<code class="highlighter-rouge">:s/</code> est la dernière commande que je viens d’apprendre.) Il me semble que j’ai franchi un petit cap. Il y a quelques années j’avais commencé à utiliser Vim et en étais resté à une pincée de commandes. Depuis quelques temps que j’essaie de m’y remettre (bon sang, si tant de développeurs le vantent c’est qu’il doit bien y avoir quelque-chose à gratter !), j’accroche et la pincée est devenue poignée.</p>
<p>Deux points me semblent moteurs dans l’affaire : l’aspect ludique où j’ai l’impression de gagner des points à chaque minuscule progression et la difficulté, que j’ai du mal à expliquer, sur la (relative) maîtrise d’un Sublime-text avec une souris et la nécessité de devoir réapprendre toutes les bases dès que la souris n’est plus disponible.</p>
<p>Car à la fin, les grands principes sont les mêmes :</p>
<ul>
<li>des copier-coller ;</li>
<li>des déplacements ;</li>
<li>des sélections ;</li>
<li>de l’auto-complétion HTML et CSS (ou autre langages) ;</li>
<li>du déplacement dans des fichiers et leurs arborescences ;</li>
<li>des déplacements de blocs de code ;</li>
<li>des comparaisons de fichiers ;</li>
<li>etc.</li>
</ul>
<p>Et toutes ces fonctionnalités auraient été aspirées par une petite souris ?</p>Je continue d’apprendre à me servir de Vim peu à peu, quotidiennement. Comment en vient-on à être une poule devant un couteau au moindre chercher-remplacer ? (:s/ est la dernière commande que je viens d’apprendre.) Il me semble que j’ai franchi un petit cap. Il y a quelques années j’avais commencé à utiliser Vim et en étais resté à une pincée de commandes. Depuis quelques temps que j’essaie de m’y remettre (bon sang, si tant de développeurs le vantent c’est qu’il doit bien y avoir quelque-chose à gratter !), j’accroche et la pincée est devenue poignée.Today I Learn2020-08-25T00:00:00+02:002020-08-25T00:00:00+02:00http://emmanuel.clement.free.fr/2020/08/25/til<p>TIL, pour <em>Today I Learned</em>, que je vois utilisé par Karl ces derniers temps. <em>Today I learned TIL</em>, donc.</p>
<p>Mon second TIL du jour est la découverte de l’auto-complétion et la proposition d’une liste de commandes possibles dans Vim lorsque je tabule.</p>
<hr />
<p>Ces derniers temps j’ai envie d’écrire. Ce ne sont pas les idées qui manquent, mais comme d’habitude, une torpeur paralysante, le temps qui passe et l’<em>à quoi bon</em> raconter tout ça et laisser une empreinte de plus sur la toile.</p>
<p>Depuis mon retour de vacances, entamé une prise de notes quotidienne de mon activité professionnelle. Ces notes sont personnelles, sans intention de les communiquer, mais juste pour inventorier ce que je fais, ce que j’apprends, les émotions qui passent au fil de la journée. Histoire de prendre du recul, mais aussi d’avoir une trace à l’avenir lorsqu’il faut revenir sur ce qui a été fait dans l’année lors des incontournables entretiens individuels.</p>
<p>Je rédige ces notes dans un terminal. Avec le navigateur, c’est l’outil qui reste ouvert toute la journée sur mon écran. Ces notes sont aussi le prétexte à pratiquer Vim. Un autre TIL il y a quelques jours et j’ai ainsi appris à automatiquement insérer la date de chaque jour lorsque je m’apprête à écrire : <code class="highlighter-rouge">:r! date</code>. Cette commande (r pour read, avec un point d’exclamation à suivre) appelle la commande <code class="highlighter-rouge">date</code> et l’insère. À l’heure ou je rédige, la commande m’insère par exemple : <code class="highlighter-rouge">mardi 25 août 2020, 18:19:20 (UTC+0200)</code>.</p>
<hr />
<p>Habituellement je rédige mes billets de blog dans Typora, que je trouve être un très bon outil d’écriture, masquant intelligement la syntaxe Markdown (qu’il est toujours possible de manipuler en vue « code »).</p>
<p>Je n’aime pas particulièrement la syntaxe Markdown. Je lui trouve des manques importants sur des éléments de base, et mixer une vue syntaxe de mise en forme tout en rédigeant interfère bien trop avec l’écriture elle-même. J’en ai déjà parlé autrefois, raison pour laquelle je préfère écrire dans Typora.</p>
<p>Cela dit, actuellement j’ai tout de même envie de quelque-chose de plus sec et brut. C’est pour cela que j’utilise présentement la console avec Vim. La forme influençant le fond, je me dis qu’en utilisant un outil spartiate et léger (voire inconfortable) et en utilisant seulement quelques éléments de syntaxe Markdown, j’en viendrai peut-être davantage au but : écrire.</p>
<p><a href="https://www.otsukare.info/2020/07/06/just-write-a-blog-post">Just Write A Blog Post</a>. La boucle est bouclée.</p>TIL, pour Today I Learned, que je vois utilisé par Karl ces derniers temps. Today I learned TIL, donc.